J'aime bien les titres à la Cicéron, De Ruri (l'ami qui n'a pas fait 6 ans de latin, ben, tant pis pour lui).
J'ai développé dans mon laboratoire de 27 m² deux théories quant à la superficialité inhérente à certains specimens de sexe féminin. M'incluant dans l'échantillon étudié, je revendique une partialité à outrance.
1- La solitude et That 7Os' show.
Bon, là, les petits loups, va falloir s'accrocher parce que le Pr. Morue a un esprit tordu.
Devant faire face à l'inéxistence d'une vie affective satisfaisante*, la personne équilibrée et méprisante des mensuels féminins que j'étais a dû se faire une raison. Les sujets masculins que je qualifierais de "lui...oui" ne semblent malheureusement pas intéréssés par la beauté intérieure- concept sur lequel je ne vais pas m'attarder puisqu'il me passe totalement au dessus de la tête. Et pourtant mes "lui...oui" ne sont en aucun cas des corps écervelés.
C'est là qu'intervient That 70s' Show.
Prenons l'éxemple de Stephen Hyde. C'est un "lui...oui" typique (on laisse tomber le côté improbable de la rencontre avec un personnage de fiction qui se déroule dans les années 70). Il se trouve que j'aime enco' bien les petits cons mesquins avec des lunettes d'aviateurs.
Le rapport avec la superficialité?
Evident. Le jeune homme pourrait se maquer avec une jeune communiste qui ne s'épile pas. La pilosité féminine étant comme chacun le sait une marque de rebellion, et ce dépuis la réalisation de La Liberté Guidant le Peuple avec son duvet axillaire. Que nenni, le "lui...oui" se tape Jackie, une bourge qui connait par coeur les catalogues de VPC.
De là à en conclure que la superficialité donne accès aux "lui...oui", il n'y a qu'un pas, et je l'ai allègrement franchi.
Par contre, je vois déjà les commentaires fuser, et je tiens à les contrer tout de suite : je m'épilais bien avant d'entamer une étude approfondie de cosmo.
2- le mythe de l'étudiant rebel® renversé.
La mauvaise foi étant un outil d'étude illimité, je me permets de l'employer dans cette démonstration.
Qui n'a jamais rencontré l'étudiant rebel® de base: j'ai des dreads, un pantalon crad, je suis anti-capitaliste et je porte des converses en bon mouton que je suis ?? Manque à ce récapitulatif la mention de l'aversion profonde éprouvée par l'étudiant rebel® pour tout ce qui touche au grand méchant loup voleur d'identité, j'ai nommé la mode.
Cependant, tout à ses cds de ska piratés, l'étudiant rebel® ne s'est pas rendu compte qu'il est un pur produit de la société qu'il abhorre. Le doute s'impose: n'est ce pas plus simple d'accepter sa part de superficialité? Soit dit en passant ça économise pas mal d'énergie... **
*les canons du mardi ne sont pas considérés comme une vie affective satisfaisante.
**celui ou celle qui a pris mon argumentation au sérieux -même si elle est étayée par des preuves irréfutables- est quand même bien con.
4 commentaires:
Hvor fanden! Page 10 de DE PROFUNDIS d'oscar wilde:
'Le vice suprême est d'être superficiel.'
Hold kaeft.je ne te savais pas fan de daria...ki n est ke l histoire d une fille a peine blasé ki innonde de son cynisme ce monde de merde k elle deteste:le lycée americain typique, la banlieue bourgeoise sous antis depresseurs remplie de majorette a pompons et de footballeurs ecervelés(et vice versa)...Kelk un de bien koi,une emokid dans toute sa splendeur
Il n y apas assez de Darias dans ce triste monde tagique et trop de Britannys ou Queenies(notamment en DEUG d Anglais).....Tan mieux pour eux,tan pis pour nous
Tu ignores encore beaucoup de choses!
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