Il était grand temps que Sex & the City se termine. Non pas parce que ça me bouffait mes vendredis soirs (enfin si, mais là n'est pas le propos), mais parce que la qualité commençait à laisser à désirer.
1-chose qui m'énervait sérieusement, c'est la déchéance de mon personnage préféré, Miranda. D'avocate débordée, cynique, et élitiste habitant un super appart en plein Manhattan, elle passe à une gentille mére de famille qui accueille sa belle-mére malade dans sa maison du Bronx.
2-Les robes de Sarah Jessica Parker. Le style Jackie Kennedy, c'est joli, mais ça va 5 minutes. Les 5 minutes passées, elle passe à la vitesse supérieure: les robes de princesse (à prononcer avec un sourire ironique) qui permettent de créer un périmétre de sécurité de 48 mètres autour de soi.
3-La pauvre vision de Paris et des parisiens (ou plus généralement des français). Je ne m'y connais pas franchement niveau parisiens et parisiennes, cependant j'estime que montrer Paris tel un grand musée gelé peuplé d'artistes homosexuels et de fans de mode hautaine relève du cliché. D'ailleurs, rien que le fait d'aller à Paris, la ville la plus romantique du monde (à prononcer avec les battements de cils de rigueur) pour retrouver son grand amuuur (continuer de battre des cils), personnellement, je trouve que ça du même niveau de niaiserie post adolescente que les films des soeurs Olsen.
4-La BO. Rappelons que les derniers épisodes de la série se déroulent en plein mois de Février. Donc, saluons la bonne idée d'avoir choisi Passi, Il Fait Chaud comme bande originale. Mais loin de s'arréter à cette seule incongruité (trop glamour Passi), la BO peut s'enorgueillir d'un 2° morceau de RnB à la française complétement pourri, dont je n'ai malheureusement pas pu identifier l'interprête.
Bon, allez, c'est vrai que la BO style M. Pokora craint du boudin:
Elle me controle, elle rythme mes pas. Move ton Body. Vas Y Bébé. Fais confiance à mon flow. I'm a rebel because j'ai gagné popstars. Link up en force. (je me suis un petit emballée, mais c'est quand même pas loin de la réalité).
Mais, il faut quand même rendre hommage à Sarah Jessica Parker qui parvient avec un naturel déconcertant à entamer un sprint perchée sur des talons aiguilles d'au moins 15 cm. Et je dis pas ça parce que j'ai un mal de chien à marcher plus de 200 métres en tongs.
2 commentaires:
c vrai que mm si j'adore sex and the city, c cool d'en arriver à la fin, moi aussi g trouV 'une américaine à Paris' un peu décevant! en mm tps, l'idée de "Carrie part à Paris, avc un russe tout moche( pardon Mr l'acteur, mais bon...), qui depuis le depuis agit avc elle genre 'sois belle et tais toi' et faut le dire qd mm qui lui arrive pas à la cheville côté physique, juste qd Big son grand amour revient ac pleins de 'je t'aime' (bon, pas tout à fait, mais un million de messages sur son répondeur disant 'rappelle, faut vrmnt que je te parle' veut un peu tout dire ...) et le fait que son retour à New York soit prévisible au moment mm où elle parle de son départ font que: "bof" pour cette fin! mais sinon,j'ai bien aimé la super honte de tomber et de se prendre pour superman dans la boutique Dior. Et part ça, sex and the city reste une super série!
un peu long mon comm', non?
c pas grave!
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