C’est décidé (enfin, presque), je change de bocal.
Il n’est pas question que je me sois épuisée les yeux sur le site de foncia pour rien. Il n’est pas non plus question que je me sois pourrie la soirée à retranscrire les informations obtenues dans un tableau simplement pour l’amour d’Excel. C’est pas que je tenais absolument à regarde Zone Interdite sur les crétins qui se marient, mais il y a quand même des moyens autres que le calcul de distances entre la fac et les hypothétiques bocaux pour faire passer le temps.
Contrairement aux apparences, je suis extrêmement enthousiaste à l’idée de quitter mon clapier. Enfin, comprenons nous, les extrémités de son enthousiasme sont assez facilement atteintes étant donné le fait que je ne fais pas partie des personnes qui peuvent s’émerveiller lors de la découverte de leurs avant bras.
Cependant, si le destin s’acharnait sur moi –formulation totalement stupide puisque je ne crois pas plus au destin qu’aux crèmes amincissantes, mais bon, passons- et m’empêchait de déménager, je me trouverais fort mécontente. Bien sur, mon désappointement ne manquerait pas d’avoir des répercussions plus ou moins désagréables sur mon humeur… Attention à ne pas réveiller la bête… J’ai été relativement vivable ces dernières semaines, entendons nous bien, l’état de grâce risque de ne pas durer !
L’appartement de mes rêves serait celui où
-4 personnes pourraient tenir debout sans avoir à se coller contre les murs
-les plombs ne sauteraient pas lorsque le micro-ondes et ma télé fonctionnent
-je n’aurais pas à craindre la sortie quotidienne d’un monstre canin dénommé Hortense.
-la baignoire n’aurait pas été conçue par un tortionnaire nazi.
-ma chambre ne ferait pas office de cuisine, salle à manger, salon, bureau, entrepôt de magazines féminins en tous genres (bon, je le reconnais, c’est un peu ma faute).
En même temps, je suis assez consciente de ma chance, c’est à dire d’avoir une mère qui se sente coupable d’offrir à son paresseux fils aîné un appartement deux fois plus grand que celui de sa parfaite petite fille. Poussons le raisonnement un peu plus loin et reconnaissons que j’ai le cul bordé de nouilles –bucolique !- que ma mère paie tous mes frais tant que je suis étudiante.
Bande son : Caravane, Raphael.
Il n’est pas question que je me sois épuisée les yeux sur le site de foncia pour rien. Il n’est pas non plus question que je me sois pourrie la soirée à retranscrire les informations obtenues dans un tableau simplement pour l’amour d’Excel. C’est pas que je tenais absolument à regarde Zone Interdite sur les crétins qui se marient, mais il y a quand même des moyens autres que le calcul de distances entre la fac et les hypothétiques bocaux pour faire passer le temps.
Contrairement aux apparences, je suis extrêmement enthousiaste à l’idée de quitter mon clapier. Enfin, comprenons nous, les extrémités de son enthousiasme sont assez facilement atteintes étant donné le fait que je ne fais pas partie des personnes qui peuvent s’émerveiller lors de la découverte de leurs avant bras.
Cependant, si le destin s’acharnait sur moi –formulation totalement stupide puisque je ne crois pas plus au destin qu’aux crèmes amincissantes, mais bon, passons- et m’empêchait de déménager, je me trouverais fort mécontente. Bien sur, mon désappointement ne manquerait pas d’avoir des répercussions plus ou moins désagréables sur mon humeur… Attention à ne pas réveiller la bête… J’ai été relativement vivable ces dernières semaines, entendons nous bien, l’état de grâce risque de ne pas durer !
L’appartement de mes rêves serait celui où
-4 personnes pourraient tenir debout sans avoir à se coller contre les murs
-les plombs ne sauteraient pas lorsque le micro-ondes et ma télé fonctionnent
-je n’aurais pas à craindre la sortie quotidienne d’un monstre canin dénommé Hortense.
-la baignoire n’aurait pas été conçue par un tortionnaire nazi.
-ma chambre ne ferait pas office de cuisine, salle à manger, salon, bureau, entrepôt de magazines féminins en tous genres (bon, je le reconnais, c’est un peu ma faute).
En même temps, je suis assez consciente de ma chance, c’est à dire d’avoir une mère qui se sente coupable d’offrir à son paresseux fils aîné un appartement deux fois plus grand que celui de sa parfaite petite fille. Poussons le raisonnement un peu plus loin et reconnaissons que j’ai le cul bordé de nouilles –bucolique !- que ma mère paie tous mes frais tant que je suis étudiante.
Bande son : Caravane, Raphael.
2 commentaires:
Comme je sais que t'aimes les commentaires (merci, je sais que ma mémoire est plutot bonne), voili voilou!
J'espère que tu vas trouver l'appart de tes rêves!
Sinon, moi, j'ai commencé le boulot. Les gamins sont mignons sauf les chiants. Il y a pas mal de chiants (3 catégories: les bordéliques, les collants qui te suivent même aux toilettes et les vicieux qui tapent les autres et te regardent ensuite d'un air doucereux), mais je les aime bien quand même. Le bus, ça a été tout bien, sauf que si j'ai pas de mercalme je vomirais bientot....
Le plus pire, c'est le temps tout moche, c'est trop nul, on a froid, on a chaud, on peut pas jouer dehors, dedans on peut pas jouer pasque y a pas assez de place, olala! Le plus mieux, c'est quand on fait de la peinture et qu'on en fout partout sur la table et que y en a même un qui en a mangé et un qui a cassé un gobelet!
mais ki est fire man?
parceque que voila, après une semaine d absence pour aller en vacances en vendée (on dirait la meuse avec la mer en plus)je suis perdu......................................................................................
A laide
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