c'est un peu du bouin de note !

Dans ma grande quête pour l’équilibre des posts… voici le post de la déprime (le retour). C’est comme le yin et le yang, Tom Welling et Jérôme*, le nutella et le galak. Pour compenser mes élans drolatiques, il faut bien que je me réfrène et vous fasse chier de temps en temps avec mes états d’âmes. Oui, j’ai une âme. Et une conscience. Mais pas le premier jour des soldes.

C’est que je me serais trompée. Ceci n’est pas le post de la déprime.

Contre toutes –mes- attentes, je vais bien.

Scène qui se déroulait l’année dernière environ 25 fois entre 13h15 et 14h

« Bonjour Morue, comment ça va ?
-Bien et vous ? J’ai envie de mourir et vous ? **
-Oui, bientôt les vacances… et toi, quand est ce que tu nous quittes ?
-ah quoi, vous m’avez entendue penser ?
- Tu termines quand ?
-le 27 aout. »

Scène qui se déroule cette année environ 25 fois entre 13h15 et 14h

« Bonjour Morue, comment ça va ?
-Bien et vous ? Surtout ne pas se moquer de son T-shirt avec la tête d’indien...
-Oui, bientôt les vacances… et toi, quand est ce que tu nous quittes ?
-Le 8 septembre. »

Comme mon boulot me laisse l’esprit libre***, j’ai quand même eu le temps de me poser une question : quand le changement s’est il produit ?
Quand sait on qu’on a cessé d’être la petite grosse sans amis ?
Ça, je m’en débrouillerai, la véritable question demeure : pourquoi ?


*Oui, franchement, ça me fait chier.

**genre si t'as pas compris, en italique, c'est ce que je pense.
***il est assez déroutant de s’apercevoir que ses mains tapent « dans l’attente confirmation » en moins de temps qu’il n’en faut pour baver devant Pedro.

Bande son : Jeune et Con, Saez. Spéciale dédicace à Julius.