Constat navrant, il semblerait que mon cœur ne batte pas.
C’est fâcheux.
Mais c’est Carol Hattaway qui me l’a dit. Le principe étant qu’à chaque fois qu’on termine une soirée chez elle, elle insiste pour prendre notre pouls et notre tension. Récemment, elle a aussi appris à faire les bandages pour moignons ce qui donne évidemment lieu à des vannes d’une stupidité affligeante que je tairai, sous peine de me faire encore engueuler.
Donc, l’infirmière Joelle –je n’ai peur de rien, moi, je fais référence aux pokemons- a tenté de prendre ma tension. Je n’en ai pas. Elle a tenté de prendre mon pouls. Je n’en ai pas. Elle a tenté d’écouter mon cœur avec son stéthoscope magique. Mon cœur ne bat pas. Si tant est que j’en ai un.
En même temps, ça peut expliquer mon état de flottement actuel.
Par exemple, vendredi, je m’efforçais depuis 2 heures à avoir l’air de travailler. En désespoir de cause, je décidai d’étudier sérieusement ma fiche de paie pour voir tout ce que l’état me volait. C’est bien sur le moment que choisit le super mega big boss de l’usine pour rentrer dans mon bureau.
En temps normal, j’aurais du rougir comme une pivoine* et sentir mon cœur battre dans mes joues.
Et bah nan.
J’ai juste eu droit à l’habituel couplet du bonjourcommentçavabienetvousbienmerciaurevoirbonweekend.
Récapitulons, je suis pâle comme la mort et mon coeur ne bat plus.
J'espère seulement ne pas commencer à me décomposer, parce que la morue gâtée n'a pas un fumet extrêmement appétissant.
*expression de mamie n°472.
C’est fâcheux.
Mais c’est Carol Hattaway qui me l’a dit. Le principe étant qu’à chaque fois qu’on termine une soirée chez elle, elle insiste pour prendre notre pouls et notre tension. Récemment, elle a aussi appris à faire les bandages pour moignons ce qui donne évidemment lieu à des vannes d’une stupidité affligeante que je tairai, sous peine de me faire encore engueuler.
Donc, l’infirmière Joelle –je n’ai peur de rien, moi, je fais référence aux pokemons- a tenté de prendre ma tension. Je n’en ai pas. Elle a tenté de prendre mon pouls. Je n’en ai pas. Elle a tenté d’écouter mon cœur avec son stéthoscope magique. Mon cœur ne bat pas. Si tant est que j’en ai un.
En même temps, ça peut expliquer mon état de flottement actuel.
Par exemple, vendredi, je m’efforçais depuis 2 heures à avoir l’air de travailler. En désespoir de cause, je décidai d’étudier sérieusement ma fiche de paie pour voir tout ce que l’état me volait. C’est bien sur le moment que choisit le super mega big boss de l’usine pour rentrer dans mon bureau.
En temps normal, j’aurais du rougir comme une pivoine* et sentir mon cœur battre dans mes joues.
Et bah nan.
J’ai juste eu droit à l’habituel couplet du bonjourcommentçavabienetvousbienmerciaurevoirbonweekend.
Récapitulons, je suis pâle comme la mort et mon coeur ne bat plus.
J'espère seulement ne pas commencer à me décomposer, parce que la morue gâtée n'a pas un fumet extrêmement appétissant.
*expression de mamie n°472.
Bande son : Gorillaz, Feel Good.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire