Alors, autant tout de suite se rendre à l'évidence, ça ne rigole pas.
D'abord j'utilise les paroles d'une chanson de Simon and Garfunkel comme titre et ensuite il me reste encore 40 longues minutes avant d'être en week-end.
Rien que ça.
En fait, ça fait quelques jours que j'ai du mal à écrire des posts de plus de 10 lignes -ma rechute dans les Moyen Age anglais ne compte pas.
J'ai un peu rien à dire.
Enfin, si, mais ça fait genre deux mois que je me triture le cerveau -nan, j'ai pas de poux- et que je ne trouve pas comment le dire.
Bon, le truc c'est que je sais pas trop où j'en suis.
Des fois je me dis que l'adolescence, c'est fini, et puis le lendemain matin, je me réveille avec des problèmes de peau qui ne peuvent se régler qu'à l'eau de Javel. Pire, j'arrive à m'engueuler avec pâpâ et môman dans la même journée. Alors du coup, je pense que non, j'en ai pas fini.
Mais bon, d'un autre côté, quand je suis dans le bus et que je passe devant Poinca -bien fait pour eux, c'est la rentrée- je suis sure que non, c'est plus pareil. D'autant plus que chez moi, c'est plus chez moi. Ma chambre de lycéenne, chez môman, genre, je ne m'y reconnais plus de trop. Envolée l'époque où je révais d'une vie meilleure en contemplant les posters de la série Roswell*.
Alors, du coup, j'ai l'impression de flotter.
Et surtout, je trouve que l'expression "période de transition" est autant porteuse de sens que le film the Jacket -ça fait pas beaucoup. L'enfance est une période transition. L'adolescence est une période de transition. Les années d'études sont une période de transition. Transition dans ton cul, oui ! Là, tout de suite, j'aimerais bien savoir vers quoi je transite -intestinal.
Bon, sur ce, je vais aller faxer mon relevé d'heures.
D'abord j'utilise les paroles d'une chanson de Simon and Garfunkel comme titre et ensuite il me reste encore 40 longues minutes avant d'être en week-end.
Rien que ça.
En fait, ça fait quelques jours que j'ai du mal à écrire des posts de plus de 10 lignes -ma rechute dans les Moyen Age anglais ne compte pas.
J'ai un peu rien à dire.
Enfin, si, mais ça fait genre deux mois que je me triture le cerveau -nan, j'ai pas de poux- et que je ne trouve pas comment le dire.
Bon, le truc c'est que je sais pas trop où j'en suis.
Des fois je me dis que l'adolescence, c'est fini, et puis le lendemain matin, je me réveille avec des problèmes de peau qui ne peuvent se régler qu'à l'eau de Javel. Pire, j'arrive à m'engueuler avec pâpâ et môman dans la même journée. Alors du coup, je pense que non, j'en ai pas fini.
Mais bon, d'un autre côté, quand je suis dans le bus et que je passe devant Poinca -bien fait pour eux, c'est la rentrée- je suis sure que non, c'est plus pareil. D'autant plus que chez moi, c'est plus chez moi. Ma chambre de lycéenne, chez môman, genre, je ne m'y reconnais plus de trop. Envolée l'époque où je révais d'une vie meilleure en contemplant les posters de la série Roswell*.
Alors, du coup, j'ai l'impression de flotter.
Et surtout, je trouve que l'expression "période de transition" est autant porteuse de sens que le film the Jacket -ça fait pas beaucoup. L'enfance est une période transition. L'adolescence est une période de transition. Les années d'études sont une période de transition. Transition dans ton cul, oui ! Là, tout de suite, j'aimerais bien savoir vers quoi je transite -intestinal.
Bon, sur ce, je vais aller faxer mon relevé d'heures.
Bande Son : the only living boy in new york, simon and garfunkel
*Ouais, je sais, c'est bon, je crains du bouin.
5 commentaires:
Bah tout le monde craint un peu du boudin... Moi aussi j'ai regardé Roswell... Sinon lol pour le transit-intestinal : bien la chute !
La vie entiere n'est qu'un mauvais moment a passer.
Pour ce ki est du flottement...Moi je ressens plutot...mmmmmmmmmm.Rien,ne sachant meme pas ce ke je vais faire dans 1 mois...le vide aussi, pis l'inutilité..
Je pense sincèrement qu'on transite tous vers le doo-da-de-doo-da-de-da....
je n'arrive pas à croire réellement que cette petite morue n'a que 19 ans...
total' épat' !
Nan, et puis c'est bien aussi, de craindre du bouin.
Whatever that means...
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