Certes, je vous ai emmerdé avec toutes ces histoires de controle des études dans ma complémentaire à la con, je l'admets, mais ça en valait la peine, car dés aujourd'hui, je m'en vais vous conter l'histoire de EL GROS QUI POUE.
Rappel des faits : ce semestre, il y avait un énOOOOOOrme dossier à rendre, un devoir en temps limité (j'ai eu 14, je vous ai tous niqué les mecs !) et un oral à passer.
L'oral, ça se passe à plusieurs. Oui, bon, mais moi, hein, eh bah je connaissais personne dans ce cours de merde, alors, normal, je me suis retrouvée avec deux rebuts de la promo de MCC parcours CMI dans ton cul*. C'est à dire, une étudiante turque fort sympathique, et EL GROS QUI POUE.
Alors, nous, on s'est dit que tiens finalement, on allait faire une revue de presse. Nous nous sommes donc réparti équitablement les journaux... Enfin, équitablement, c'était en théorie puisque la première fois que nous nous sommes réunis pour faire le point, la répartition se résumait à:
-Istanbulote : Le Monde, L'Humanité, quelques quotidiens turcs.
-Jean Luc (c'est moi) : Libération, Le Courrier International, des journaux anglais dont le Weekly Telegraph.
-EL GROS QUI POUE : Le Figaro du 13 décembre.
Ok, léger déséquilibre. Par contre, EL GROS QUI POUE n'a peur de rien**, il a donc décidé de prendre en main le matériel qu'on fournissait. Alors, on va faire comme MOI -EL GROS QUI POUE- j'ai dit, on va faire un plan en 30 000 rubriques, pis on va y aller au bluff, pis on sera meilleurs que les autres, parce que moi, vous comprenez, j'ai 30 ans -et 30 kilos en trop- et j'ai déjà donné des conférences devant 80 personnes, j'ai certainement plus d'expérience que le prof -il a dit ça pour de vrai-, je prends en main l'introduction, la conclusion la partie politique, la partie société, la partie actu internationale, et euh, tiens, la culture, le sport et les avis de décès aussi.
Oui, donc, nous, il nous reste, les numéros de pages et les pubs, si je comprends bien. Alors écoute moi bien, gros, ça va pas être possible...
En effet, ça n'a pas été possible, et à force de retiendement de respiration (en effet, EL GROS QUI POUE, il poue) et de diplomatie (oui, oui, moi, diplomate), on a pu faire en sorte d'avoir notre mot à dire dans l'affaire. J'ai d'ailleurs, réussi à faire sourire l'enculé de prof grâce à une vanne de mon cru sur la star academy. Ouais, je sais, c'est pas mal.
MOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON***,
Avant que je n'oublie, il faut absolument que je vous raconte un truc de taré. Dans le bureau du prof en question, non seulement il n'y a pas de place, mais en plus, il y a un portrait de Charles de Gaulle. J'ai bien scotché dessus pendant 15 secondes avant de repenser à respirer.
Finalement, l'oral s'est bien passé, donc, je suis quasiment prête à oublier l'attitude paternaliste de EL GROS QUI POUE, j'irais peut être même jusqu'à pardonner l'odeur révulsante de EL GROS QUI POUE, mais alors, LE truc qui ne passe pas, avec EL GROS QUI POUE, c'est la manière qu'il avait de faire référence à sa copine.
Je veux bien qu'il dise : ma compagne, mon amie de cul, ma choupinette, ma chérie, amour, darling, hey sexy lady, ma copine, ma rombière, ma meuf, mon sac à foutre, bobonne, le soleil de ma vie****, mon coeur en sucre, mein liebschen...
Mais je le larderais à coups de couteaux à chaque fois qu'il prononce cette phrase horripilante : "mon amie fait trés bien la cuisine". Car, oui, EL GROS QUI POUE prononce cette phrase environ toutes les 48 secondes.
1- les gens qui disent mon ami(e) pour la personne qui accepte de les supporter tout en leur lançant des oeillades attendries, ça me rend violente, je pourrais tuer des chatons dans ces moments là.
2- on se doute bien que tu dois aimer la bouffe, vu que tu viens d'engloutir 4 sandwichs en 7 minutes sous nos yeux ébahis.
Et voilà, je passe encore pour la bonne vieille intolérante associale des familles. C'est même pas vrai, c'est juste que j'estime que les gens cons, une fois qu'on a démontré leur connerie, on a le droit de les attaquer sur le physique. En fait, non, c'est juste EL GROS QUI POUE qui me donne envie d'être plus mesquine encore qu'à l'accoutumée.
Et vlan dans la gueule à l'esprit de bonne monelle.
Bande son : Bénabar, les mots d'amour.
*le "dans ton cul" n'était pas forcément indispensable, mais j'ai trouvé qu'il ponctuait pas mal cette phrase.
**gnia gnia, les cons ça ose tout, c'est à ça qu'on les reconnaît, c'est bon, pas la peine de le mettre en commentaire. Enfin, j'ai rien contre un ou deux commentaires, quand même.
***donc, ça, c'est lorrain.
****cofidis.
Rappel des faits : ce semestre, il y avait un énOOOOOOrme dossier à rendre, un devoir en temps limité (j'ai eu 14, je vous ai tous niqué les mecs !) et un oral à passer.
L'oral, ça se passe à plusieurs. Oui, bon, mais moi, hein, eh bah je connaissais personne dans ce cours de merde, alors, normal, je me suis retrouvée avec deux rebuts de la promo de MCC parcours CMI dans ton cul*. C'est à dire, une étudiante turque fort sympathique, et EL GROS QUI POUE.
Alors, nous, on s'est dit que tiens finalement, on allait faire une revue de presse. Nous nous sommes donc réparti équitablement les journaux... Enfin, équitablement, c'était en théorie puisque la première fois que nous nous sommes réunis pour faire le point, la répartition se résumait à:
-Istanbulote : Le Monde, L'Humanité, quelques quotidiens turcs.
-Jean Luc (c'est moi) : Libération, Le Courrier International, des journaux anglais dont le Weekly Telegraph.
-EL GROS QUI POUE : Le Figaro du 13 décembre.
Ok, léger déséquilibre. Par contre, EL GROS QUI POUE n'a peur de rien**, il a donc décidé de prendre en main le matériel qu'on fournissait. Alors, on va faire comme MOI -EL GROS QUI POUE- j'ai dit, on va faire un plan en 30 000 rubriques, pis on va y aller au bluff, pis on sera meilleurs que les autres, parce que moi, vous comprenez, j'ai 30 ans -et 30 kilos en trop- et j'ai déjà donné des conférences devant 80 personnes, j'ai certainement plus d'expérience que le prof -il a dit ça pour de vrai-, je prends en main l'introduction, la conclusion la partie politique, la partie société, la partie actu internationale, et euh, tiens, la culture, le sport et les avis de décès aussi.
Oui, donc, nous, il nous reste, les numéros de pages et les pubs, si je comprends bien. Alors écoute moi bien, gros, ça va pas être possible...
En effet, ça n'a pas été possible, et à force de retiendement de respiration (en effet, EL GROS QUI POUE, il poue) et de diplomatie (oui, oui, moi, diplomate), on a pu faire en sorte d'avoir notre mot à dire dans l'affaire. J'ai d'ailleurs, réussi à faire sourire l'enculé de prof grâce à une vanne de mon cru sur la star academy. Ouais, je sais, c'est pas mal.
MOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOOON***,
Avant que je n'oublie, il faut absolument que je vous raconte un truc de taré. Dans le bureau du prof en question, non seulement il n'y a pas de place, mais en plus, il y a un portrait de Charles de Gaulle. J'ai bien scotché dessus pendant 15 secondes avant de repenser à respirer.
Finalement, l'oral s'est bien passé, donc, je suis quasiment prête à oublier l'attitude paternaliste de EL GROS QUI POUE, j'irais peut être même jusqu'à pardonner l'odeur révulsante de EL GROS QUI POUE, mais alors, LE truc qui ne passe pas, avec EL GROS QUI POUE, c'est la manière qu'il avait de faire référence à sa copine.
Je veux bien qu'il dise : ma compagne, mon amie de cul, ma choupinette, ma chérie, amour, darling, hey sexy lady, ma copine, ma rombière, ma meuf, mon sac à foutre, bobonne, le soleil de ma vie****, mon coeur en sucre, mein liebschen...
Mais je le larderais à coups de couteaux à chaque fois qu'il prononce cette phrase horripilante : "mon amie fait trés bien la cuisine". Car, oui, EL GROS QUI POUE prononce cette phrase environ toutes les 48 secondes.
1- les gens qui disent mon ami(e) pour la personne qui accepte de les supporter tout en leur lançant des oeillades attendries, ça me rend violente, je pourrais tuer des chatons dans ces moments là.
2- on se doute bien que tu dois aimer la bouffe, vu que tu viens d'engloutir 4 sandwichs en 7 minutes sous nos yeux ébahis.
Et voilà, je passe encore pour la bonne vieille intolérante associale des familles. C'est même pas vrai, c'est juste que j'estime que les gens cons, une fois qu'on a démontré leur connerie, on a le droit de les attaquer sur le physique. En fait, non, c'est juste EL GROS QUI POUE qui me donne envie d'être plus mesquine encore qu'à l'accoutumée.
Et vlan dans la gueule à l'esprit de bonne monelle.
Bande son : Bénabar, les mots d'amour.
*le "dans ton cul" n'était pas forcément indispensable, mais j'ai trouvé qu'il ponctuait pas mal cette phrase.
**gnia gnia, les cons ça ose tout, c'est à ça qu'on les reconnaît, c'est bon, pas la peine de le mettre en commentaire. Enfin, j'ai rien contre un ou deux commentaires, quand même.
***donc, ça, c'est lorrain.
****cofidis.
1 commentaire:
Looooooool !!! Tu sais quoi, ce gars, je pense savoir qui c'est. Demande-lui s'il parle Italien, parce que dans ce cas, je sais qui c'est lol.
Sympa ce post, là c'est vrai que ça se passe pas de commentaires lol. Et je lance pas de fleur en l'air. D'ailleurs it's a statement, lol.
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