Il semblerait que le rendez-vous du mardi soit déjà entré dans les consciences collectives. Mais, ajoutons une petite nuance. On laisse tomber le banal ‘photo de bô mecs day’ pour passer à la ‘battle de bô mecs.’ (Délicieusement superficiel)
Fallait y penser Mich !
Bon, ben aujourd’hui, Hayden Christensen. Puisqu’il est impossible d’échapper à la déferlante Star Wars, autant se faire un peu plaisir… C’est marrant, l’expression « déferlante » ça fait un peu « je fais des critiques de films que j’ai pas vu dans le télé loisirs ». Quelques petites infos sur la carrière du jeune homme en question ? Non ? On s’en fout, il est juste canon ? Ok, d’accord, on la joue FAN DE. Par contre, je tiens quand même à signaler que la joliesse physique n’excuse pas tout –d’ailleurs, elle n’excuse rien, mais bon passons. Dans le deuxième épisode de la trilogie, tout à son amour bucolique avec Nathalie Portman, le jouvenceau se laisse aller à des roulades dans l’herbe verte de collines ensoleillées… Faut arrêter. Même dans les films avec des combats au sabre laser, les escapades romantiques à la campagne, c’est pas crédible. D’ailleurs, on a déjà bien accepté que la reine-sénatrice-députée-maire-de-Caen Amidala aie oublié de vieillir alors que son amant a passé, avec succès, le cap de la puberté, donc, faudrait voir à pas pousser mémé dans les orties.
Pour faire face, l’excellent Joseph Fiennes (si quelqu’un pouvait me dire comment on prononce son nom…). Lui aussi a sa petite actualité cinématographique: Man to Man. Faut se le dire, après le profond ennui provoqué par Ray, le doute était jeté sur les films de plus de 2 heures et ce même si Jamie Fox imite Ray Charles mieux que Laurent Gerra ne pourra jamais imiter Gilbert Montagné. Bon, les 2h02 furent acceptées et grand bien nous en a pris.* Bon film qui fait un peu réfléchir quand on se dit que ça c’est produit il y a à peine 150 ans. Le seul inconvénient, mais qui n’est en aucun cas imputable à Régis Wargnier, c’est la mamie qui explique à son petit fils de quinze ans –le pauvre- comment on fait les bébés, et que le racisme, c’est pas bien. Sinon, je tiens à dire que le terme « pageboy » ne peux en aucun cas être considéré comme une insulte quand on voit ce que pouvait donner le concept même de petit page à l’époque.
(la photo est tirée d’Elizabeth, mais j’en reparlerai certainement vu mon grand intérêt pour la reine dont les chapeaux de la seconde du nom ont galvaudé le prestige)
* C’est pas que je parle de moi à la deuxième personne du pluriel, c’est juste que je suis pas allée au ciné toute seule.
Fallait y penser Mich !
Bon, ben aujourd’hui, Hayden Christensen. Puisqu’il est impossible d’échapper à la déferlante Star Wars, autant se faire un peu plaisir… C’est marrant, l’expression « déferlante » ça fait un peu « je fais des critiques de films que j’ai pas vu dans le télé loisirs ». Quelques petites infos sur la carrière du jeune homme en question ? Non ? On s’en fout, il est juste canon ? Ok, d’accord, on la joue FAN DE. Par contre, je tiens quand même à signaler que la joliesse physique n’excuse pas tout –d’ailleurs, elle n’excuse rien, mais bon passons. Dans le deuxième épisode de la trilogie, tout à son amour bucolique avec Nathalie Portman, le jouvenceau se laisse aller à des roulades dans l’herbe verte de collines ensoleillées… Faut arrêter. Même dans les films avec des combats au sabre laser, les escapades romantiques à la campagne, c’est pas crédible. D’ailleurs, on a déjà bien accepté que la reine-sénatrice-députée-maire-de-Caen Amidala aie oublié de vieillir alors que son amant a passé, avec succès, le cap de la puberté, donc, faudrait voir à pas pousser mémé dans les orties.
Pour faire face, l’excellent Joseph Fiennes (si quelqu’un pouvait me dire comment on prononce son nom…). Lui aussi a sa petite actualité cinématographique: Man to Man. Faut se le dire, après le profond ennui provoqué par Ray, le doute était jeté sur les films de plus de 2 heures et ce même si Jamie Fox imite Ray Charles mieux que Laurent Gerra ne pourra jamais imiter Gilbert Montagné. Bon, les 2h02 furent acceptées et grand bien nous en a pris.* Bon film qui fait un peu réfléchir quand on se dit que ça c’est produit il y a à peine 150 ans. Le seul inconvénient, mais qui n’est en aucun cas imputable à Régis Wargnier, c’est la mamie qui explique à son petit fils de quinze ans –le pauvre- comment on fait les bébés, et que le racisme, c’est pas bien. Sinon, je tiens à dire que le terme « pageboy » ne peux en aucun cas être considéré comme une insulte quand on voit ce que pouvait donner le concept même de petit page à l’époque.
(la photo est tirée d’Elizabeth, mais j’en reparlerai certainement vu mon grand intérêt pour la reine dont les chapeaux de la seconde du nom ont galvaudé le prestige)
* C’est pas que je parle de moi à la deuxième personne du pluriel, c’est juste que je suis pas allée au ciné toute seule.
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