C'est rapport à rael.
Je reconnais, que j'aurais pû me montrer plus claire, mais quand même, c'était évident que je me sentais pas d'adorer les élohims (je me suis renseignée, la classe).
1-je me suis limite barrée en courant quand il est venu me voir. J'aime bien, la grammaire, mais pas au point de sprinter pour aller voir Weber.
2-je l'ai évité toute la semaine.
3-j'ai séché les cours où j'étais sensée être avec lui.
Mais non, ça ne suffit pas.
La scéne: un groupe de filles qui discutent devant l'amphi en attendant les sujets du devoir blanc. Rael se pointe, se tient comme un con derriére moi sans rien dire pendant 10 minutes. Il capte enfin qu'il n'est pas le bienvenu et se tire. Je me crois tirée d'affaire, mais le sournois s'était caché derriére un pilier...
Bon, je rentre dans l'amphi pour prendre un sujet avec Miss-moi-non-plus-je-comprends-rien-au-maths, et là le piége se referme. Rael se tient dans l'embrasure de la porte et n'a visiblement aucune intention d'en bouger. Qu'à cela ne tienne, il y a 2 portes, crétin!
J'emprunte donc la 2eme sortie, mais évidemment je me fais capter et aussitôt rattrapper par un
"Bon, alors, la semaine prochaine ça te dirait?" un tantinet agressif.
Blanc.
"Si ça te fait chier, dis le franchement" vraiment agressif cette fois.
C'est le moment où jamais de clarifier la situation, alors:
"ouais, fanchement, ça me fait chier!"
Je dois vraiment remercier Miss-moi-non-plus-je-comprends-rien-au-maths qui m'a permis de m'échapper de cette situation un rien gênante.
Enfin, voilà une bone chose de faite, même si je me sens un peu merdeuse -mais pas trop, parce que les gros lourds, ça va deux minutes!
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